Plusieurs candidats renoncent à prendre part à leurs examens prévus pour la fin de ce mois car ils estiment que l’exercice est truqué. Ils croient savoir déjà qui seront les nouveaux promus. Selon certains, celui qui distribue les galons, n’est nul autre que le fils du patron et ce, contre un ‘bakchisch’ de Rs 300 000. Le petit génie offre un service impeccable, allant même jusqu’à s’assurer que les demandes d’emprunts par les candidats auprès d’une institution financière de l’état, pour justement financer le ‘bakchisch’, soient traitées en priorité.