Le ministère russe des Affaires étrangères a fait monter au créneau plusieurs de ses poids lourds pour dénoncer le danger que représente pour le pays la présence de jihadistes en Azerbaïdjan.
La Turquie persiste à nier toute responsabilité dans ce transfert. Cependant, elle se prépare à une riposte russe en Syrie occupée. Elle a débuté l’évacuation de son poste militaire à Morek (gouvernorat d’Idleb) tout en renforçant sa présence dans d’autres postes (elle en a douze au total).
L’Arménie qui jusqu’à présent privilégiait un soutien de l’Otan sous l’impulsion du Premier ministre Nikol Pashinyan (un des hommes de George Soros), se tourne désormais vers la Russie et l’OTSC. Plusieurs ministres appellent Moscou à intervenir au Haut-Karabagh, non pas contre l’Azerbaïdjan, mais pour défendre ses intérêts face à l’afflux de jihadistes.